Un cadavre brûlé par des armes chimiques est retrouvé sur un chantier polonais. Les résultats de l’autopsie sont stupéfiants : certains membres prélevés sur place n’appartiennent pas au corps de la victime. Absorbé par cette étrange affaire, le procureur Teodore Szacki néglige une plainte pour violences conjugales. Il en prend conscience trop tard : la plaignante a été grièvement blessée. Son mari est découvert quelques jours après, vivant, mais la langue et les cordes vocales sectionnées... Mis en cause par sa hiérarchie, le magistrat voit sa carrière menacée, lorsque sa propre fille est enlevée à son tour. Il sent alors monter en lui la rage. Et une inextinguible soif de sang, capable d’emporter même le plus droit des justiciers...
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Le procureur Teodore Szacko est appelé lors de la découverte d'un squelette dans un ancien bunker.
Le professeur Ludwik Frankenstein (oui oui c'est bien son nom !) lui apprend que le squelette n'a pas 20 ou 30 ans comme tout le monde le pensait initialement (corps de la seconde guerre mondiale ?) mais qu'il n'a pas plus que quelques jours.
Le mort est Piotr Najman, patron d'une agence de voyage qui en apparence n'a absolument rien à se reprocher.
Commence alors pour le procureur une longue enquête ou il devra remettre en question sa notion de justice, du bien et du mal.
L'auteur nous décrit une Pologne après guerre avec des immeubles laids et mal pensé, On a l'impression qu'il n'y fait jamais beau, que la circulation est un chaos, qu'il ne s'y passe rien d'intéressant...rien pour donner envie d'y aller.
L'histoire est très intéressante et la fin très surprenante, juste dommage que le récit soit si descriptif, littéraire, ça n'apporte rien de plus à l'histoire.
Ma note :
Éditeur : FLEUVE EDITIONS (2016)
Nombre de pages : 552
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